Jeanne Amar, Samira Demaria et Sandra Rigot analysent, dans un article publié sur le blog de la Caisse des Dépôts et Consignations, l’efficacité des pratiques de gestion climatiques (PGC) mises en place par les entreprises afin de réduire les émissions de GES.
Le changement climatique est devenu un enjeu majeur dans nos économies. Il implique un nombre croissant de risques qui peuvent avoir d’importants impacts financiers sur les acteurs économiques.
Les entreprises ont un rôle majeur à jouer dans l’atténuation du réchauffement climatique en réduisant leurs émissions. En conséquence, elles sont soumises à une pression croissante de la part des consommateurs, des investisseurs, des actionnaires, des gouvernements et des institutions supranationales pour qu’elles réduisent leurs émissions de GES. Afin de contribuer à l’objectif mondial fixé par l’Accord de Paris, les entreprises ont progressivement mis en place des actions, appelées pratiques de gestion climatiques (PGC).
Compte tenu de l’enjeu, il est essentiel de vérifier si ces PGC permettent effectivement de réduire les émissions de GES et d’atteindre l’objectif de décarbonation profonde.
Séminaire en présence d'Adam George (SOAS, University of London). Adam George présente un modèle macroéconomique SFC environnemental britannique intégrant émissions de CO2 et investissements verts de tous les agents économiques. Le modèle trimestriel analyse l'impact des politiques énergétiques selon le rapport capital vert/capital conventionnel. Quatre scénarios fiscaux verts sont testés (2022-2035) : taxe carbone, investissement...
Le laboratoire GAEL (Grenoble Applied Economics Laboratory) et la Chaire Energie et Prospérité organisent un workshop sur l’économie de la bioénergie les jeudi 9 et vendredi 10 octobre 2025 sur le campus universitaire de Grenoble.