Oui à la IIIe République, non au Fmi et à la Banque mondiale ?

Les populations ivoiriennes constatent que, sur nos projets routiers, le savoir-faire est importé, les camions sont importés, les chauffeurs sont importés. Elles se demandent comment créer de l’emploi pour nos jeunes par la bonne dette et par la commande publique ? Quand nous pourrons en imposer aux entreprises à qui nous passons commande, nous serons capables de dire non au Fmi et à la Banque mondiale.

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