Les sciences sociales, et la science économique en particulier, supposent que les hommes s’accordent à vivre leur existence terrestre. De ceci, on peut douter, cependant : il n’est pas certain que l’expérience terrestre soit heureuse, comme il n’est pas certain que les hommes aient le désir de la faire durer. Il se pourrait ainsi que la répugnance à la condition terrestre soit la première raison de l’inaction écologique.
Séminaire en présence d'Adam George (SOAS, University of London). Adam George présente un modèle macroéconomique SFC environnemental britannique intégrant émissions de CO2 et investissements verts de tous les agents économiques. Le modèle trimestriel analyse l'impact des politiques énergétiques selon le rapport capital vert/capital conventionnel. Quatre scénarios fiscaux verts sont testés (2022-2035) : taxe carbone, investissement...
Le laboratoire GAEL (Grenoble Applied Economics Laboratory) et la Chaire Energie et Prospérité organisent un workshop sur l’économie de la bioénergie les jeudi 9 et vendredi 10 octobre 2025 sur le campus universitaire de Grenoble.