Cet article présente une analyse historique et une typologie originale des intermédiaires financiers publics qui révèle leur diversité et leurs avantages respectifs face à la transition énergétique. Il dresse un premier état des lieux des politiques d’investissement climatique des leaders européens
En s’appuyant sur des scénarios à moyen (2024) et long terme (2060) du GIEC (2018), cette étude analyse la sensibilité du risque de crédit de 763 entreprises internationales.
La Chaire Energie et Prospérité a organisé, le vendredi 8 avril 2022, un workshop en visioconférence sur l'articulation entre les objectifs fixés par la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) et les plans stratégiques des entreprises.
Le transport collectif à la demande par des véhicules autonomes offre une promesse de solution urbaine de mobilité pour se substituer à un transport public trop rigide face à une demande devenue imprévisible. Une transition pour réaliser cette promesse pourrait s’appuyer sur une politique publique à deux volets exposés dans cet article.
L’économie écologique, dans sa tentative d’explicitation du métabolisme économique, maintient
des « besoins fondamentaux » comme assise élémentaire. On peut douter toutefois de la solidité
d'une telle assise : il y a fort à parier que de tels « besoins » n'aient pas une positivité suffisante, la
consommation étant un fait social mû par de tout autres mobiles que la seule nécessité d’assouvir des besoins « endosomatiques ».
La crise écologique peut s'interpréter comme un problème de désynchronisation entre un temps
écologique contraint par des rigidités propres, et un temps social soumis à une accélération
continue.
Using the IPCC (2018) medium (2024) and long-term (2060) scenarios, this study analyzes the credit risk sensitivity of 763 international companies.
L'objectif de ce travail était de développer un modèle robuste de transition pour identifier les politiques publiques permettant d'éviter soit un équilibre attractif avec uniquement des capitaux intensifs en combustibles fossiles, soit un effondrement dû a un moment de Minsky induit par le climat.
Les intermédiaires financiers publics (IFP) – plus connus sous le nom de banques publiques ou de développement – ont un rôle stratégique à jouer face aux défis climatiques, et plusieurs pistes sont possibles pour renforcer leur action en la matière.
L’Union Européenne s’est fixée des objectifs de décarbonation ambitieux aux horizons 2030 et 2050. Alors que le secteur des transports est le seul qui a augmenté ses émissions depuis 1990, il est crucial de comprendre ce qui explique l’évolution de ses émissions de CO2, afin de mieux saisir sur quels leviers compter pour accélérer la transition.
Séminaire en présence d'Adam George (SOAS, University of London). Adam George présente un modèle macroéconomique SFC environnemental britannique intégrant émissions de CO2 et investissements verts de tous les agents économiques. Le modèle trimestriel analyse l'impact des politiques énergétiques selon le rapport capital vert/capital conventionnel. Quatre scénarios fiscaux verts sont testés (2022-2035) : taxe carbone, investissement...
Le laboratoire GAEL (Grenoble Applied Economics Laboratory) et la Chaire Energie et Prospérité organisent un workshop sur l’économie de la bioénergie les jeudi 9 et vendredi 10 octobre 2025 sur le campus universitaire de Grenoble.