The workshop aimed to identify the key uncertainties and debates regarding the role of bioenergy in a climate neutral economy, at national and global scales, and the challenges for the design of climate policies.
Dans une note à paraître prochainement dans la Revue de l’Energie, Guy Meunier et Jean-Pierre Ponssard montrent : (i) Que la définition d’un indicateur dynamique de coût d’abattement, évaluant le déploiement d’une technologie décarbonée en substitution d’une technologie carbonée, est une approche plus complète que celle des coûts d’abattement traditionnels , et qu’elle débouche sur une préconisation d’accélération des programmes de décarbonation ; (ii) Que cet indicateur peut être appliqué à un enchaînement temporel de nouvelles technologies, cet enchaînement permettant (plus ou moins graduellement) d’atteindre l’objectif Zéro Emission Net (ZEN)
Akil Amiraly (i3-CRG) et Mansoureh Hasannia Kolaee (Laval University), et leur co-auteurs Peter Kasaija (Makerere University) et Nathalie Prime (ESCP) ont reçu le premier prix du Global case writing competition 2023 du William Davidson Institute (Michigan University) pour l’étude de cas « Electric Moto Taxis Innovation in Low-Income Countries: A Rider’s Perspective in Kampala ».
Il n’est pas certain que l’expérience terrestre soit heureuse, comme il n’est pas certain que les hommes aient le désir de la faire durer. Il se pourrait ainsi que la répugnance à la condition terrestre soit la première raison de l’inaction écologique.
Cette étude présente les modalités d’un verdissement des politiques budgétaire, monétaire et prudentielle permettant de faire face au besoin de financement massif et aux risques majeurs associés au changement climatique.
L’urgence sociale et écologique d’une bifurcation pour sortir de la crise multidimensionnelle du capitalisme mondial commence à être admise aujourd’hui. Cet article analyse le rôle des institutions bancaires publiques (banque centrale, pôle bancaire public, Trésor public) pour financer la bifurcation écologique.
Recent recovery plans, associated with the COVID‐19 pandemic and the energy transition, increased the funding available to finance innovative low‐carbon projects and called for an economic evaluation of their allocation. This paper analyzes the potential benefit of using repayable advance: a lump‐sum payment to finance the project that is paid back in case of success.
Le contraste est saisissant entre, d’un côté, la surabondance d’actifs financiers au bilan des institutions financières de toute sorte, et, de l’autre, le sous-investissement dans la transition écologique. Est-ce à dire que l’argent ne manque pas pour financer la transition et qu’il suffit de le réorienter au bon endroit en donnant aux investisseurs les bonnes incitations ? Cette vision est séduisante et assez largement répandue dans le débat public, mais elle pose plusieurs questions.
L’impôt et la réorientation des subventions publiques ne suffiront pas, la création monétaire de la BCE doit être mise au service de la transition, affirment Jézabel Couppey-Soubeyran, Pierre Delandre, chercheur en écologie politique et Augustin Sersiron, économiste, dans l’Humanité.
Parce que la France ne représente qu’un centième des émissions mondiales de CO₂, il faudrait ne rien faire ? Antonin Pottier montre, dans une tribune publiée dans le Nouvel Obs, pourquoi ce raisonnement, récemment utilisé par Emmanuel Macron, ne tient pas.