Cette thèse fait la supposition que le problème écologique est un problème double, en réalité : qu’il interroge la possibilité d’une rationalisation des entités écologiques, mais aussi, plus indirectement, la robustesse des finalités de l’agent.
Si la crise écologique est habituellement présentée comme une confrontation entre l’homme et la nature, il reste un troisième terme qu’il est impératif de garder à l’esprit : la technique, constituée de deux fronts, qu’il faut considérer conjointement : la médiation avec la nature, et la médiation avec l’homme lui-même.